La machine à monstres... Ce titre m'obsède depuis le premier trait posé sur le tome 1.
Aucune hésitation dans son choix alors que j'ai retourné dans ma tête tant et tant de fois celui du premier opus.
Quelle est, aujourd'hui, leur place dans la société, celle qui leur a été accordée avant... ne sont-ils plus qu'un mauvais souvenir à l'heure du tout génétique ? Pourtant ils restent le quotidien des hommes du tiers monde, créés par la pollution industrielle importée par nous, "pays riches".
Quelques lectures ont été bien utiles comme L'IMAGE CORPS, figures de l'humain dans l'art du XXe siècle de Paul Ardenne, des monstres aux mythes de Marie-Josèphe Wolff-Quenot, les Monstres de Martin Monestier le grand défricheur du bizarre ou ceux, plus lugubres, du photographe Joel-Peter Witkin qui à travers leur mise en scène sont à la limite du soutenable.
Aucune hésitation dans son choix alors que j'ai retourné dans ma tête tant et tant de fois celui du premier opus.
Seulement voilà, il y a la promesse du monstre, des montres, alors comment les montrer sans décevoir le lecteur ? Dois-je me lancer dans une surenchère graphique pour tenter de "surclasser" mes petits camarades de la bande dessinée ou du cinéma, ou aborder les choses simplement, humainement ?...
Evidemment, j'ai ma petite idée !Quelle est, aujourd'hui, leur place dans la société, celle qui leur a été accordée avant... ne sont-ils plus qu'un mauvais souvenir à l'heure du tout génétique ? Pourtant ils restent le quotidien des hommes du tiers monde, créés par la pollution industrielle importée par nous, "pays riches".
Quelques lectures ont été bien utiles comme L'IMAGE CORPS, figures de l'humain dans l'art du XXe siècle de Paul Ardenne, des monstres aux mythes de Marie-Josèphe Wolff-Quenot, les Monstres de Martin Monestier le grand défricheur du bizarre ou ceux, plus lugubres, du photographe Joel-Peter Witkin qui à travers leur mise en scène sont à la limite du soutenable.
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