Journée idéale pour laisser une note, car un peu spéciale pour moi. Ceux qui me connaissent bien sauront de quoi je parle.
L'an dernier, j'arpentais le Louvre dans les salles consacrées aux antiquités romaines à la recherches des bas reliefs sacrificiels dont John Sheid, le professeur du Collège de France m'avait parlé. Je jouais de malchance, les œuvres que je venais examiner se trouvaient réunies en bloc pour un tour des musées américain d'Indianapolis, de Seattle et d'Oklahoma City sous le nom de "Roman Art from the Louvre" .
La patience et un peu de chance paie parfois, car en vertu d'un accord de collaboration entre le Louvre et le musée départemental Arles Antique de Arles, ce dernier accueille pour l'unique halte européenne des chef d'œuvres issues des salles mais aussi des réserves du plus grand musée du monde.
Arles est une destination ensoleillée où vous pourrez admirer ses arènes construites sous le règne d'Auguste et les ruines du thêatre de la même période et flâner sur les traces Vincent Van Gogh à la recherche de l'hôtel dieu qui l'accueillit après qu'il se soit coupé la fameuse oreille.
Et, si après tout ça vous avez faim de nourriture terrestre, vous pourrez toujours vous rendre à l'Atelier, restaurant de Jean-Luc Rabanel doublement étoilé au Michelin 2009.
Profitez de cette destination avant l'été, l'exposition "de l'esclave à L'empereur" se termine le 3 mai !
Photo 1 :
Relief historique, double suovetaurile
Premier ou deuxième quart du Ier siècle apr. JC.
Marbre
Les sacrificices suovetaurile étaient dédiés à Mars. La procession du porc, du bélier et du taureau ont donné le nom à ce sacrifice.
Photo 2 :
Relief historique, sacrifice de deux taureaux
Fin du IIe apr. JC
Marbre gris
Je me demande franchement si le premier bovin à la tête relevée est vraiment un taureau.
Photo 3 :
Relief historique, sacrifice
Photo 4 :
Relief historique, sacrifice de taureau.
Photo 5 :
Polymnie
Ier-IIe siècle apr. JC
Marbre
L'an dernier, j'arpentais le Louvre dans les salles consacrées aux antiquités romaines à la recherches des bas reliefs sacrificiels dont John Sheid, le professeur du Collège de France m'avait parlé. Je jouais de malchance, les œuvres que je venais examiner se trouvaient réunies en bloc pour un tour des musées américain d'Indianapolis, de Seattle et d'Oklahoma City sous le nom de "Roman Art from the Louvre" .
La patience et un peu de chance paie parfois, car en vertu d'un accord de collaboration entre le Louvre et le musée départemental Arles Antique de Arles, ce dernier accueille pour l'unique halte européenne des chef d'œuvres issues des salles mais aussi des réserves du plus grand musée du monde.
Arles est une destination ensoleillée où vous pourrez admirer ses arènes construites sous le règne d'Auguste et les ruines du thêatre de la même période et flâner sur les traces Vincent Van Gogh à la recherche de l'hôtel dieu qui l'accueillit après qu'il se soit coupé la fameuse oreille.
Et, si après tout ça vous avez faim de nourriture terrestre, vous pourrez toujours vous rendre à l'Atelier, restaurant de Jean-Luc Rabanel doublement étoilé au Michelin 2009.
Profitez de cette destination avant l'été, l'exposition "de l'esclave à L'empereur" se termine le 3 mai !
Photo 1 :
Relief historique, double suovetaurile
Premier ou deuxième quart du Ier siècle apr. JC.
Marbre
Les sacrificices suovetaurile étaient dédiés à Mars. La procession du porc, du bélier et du taureau ont donné le nom à ce sacrifice.
Photo 2 :
Relief historique, sacrifice de deux taureaux
Fin du IIe apr. JC
Marbre gris
Je me demande franchement si le premier bovin à la tête relevée est vraiment un taureau.
Photo 3 :
Relief historique, sacrifice
Photo 4 :
Relief historique, sacrifice de taureau.
Photo 5 :
Polymnie
Ier-IIe siècle apr. JC
Marbre